Le vin rouge, c’est bon pour la flore intestinale
Une étude rapporte que les polyphénols du vin rouge favorisent une plus grande diversité de la flore intestinale, un important marqueur d’une bonne santé. Télécharger la chronique
Une étude rapporte que les polyphénols du vin rouge favorisent une plus grande diversité de la flore intestinale, un important marqueur d’une bonne santé. Télécharger la chronique
Une étude iranienne rapporte que la consommation de boissons à une température trop élevée augmente d’environ deux fois le risque de développer un cancer de l’oesophage. Télécharger la chronique
Une étude montre que les jeunes qui boivent régulièrement de grandes quantités d’alcool sont plus susceptibles d’avoir une pression artérielle et des taux de cholestérol supérieurs à la normale, deux importants facteurs de risque de maladies cardiovasculaires. Télécharger la chronique
Une importante étude récente rapporte que l’acétaldéhyde formé par l’oxydation de l’alcool provoque des dommages importants à l’ADN des cellules souches, ce qui favorise le développement
du cancer. Télécharger la chronique
Le disulfirame (Antabuse) est utilisé depuis 60 ans pour traiter la consommation abusive d’alcool. Selon une étude récemment parue dans la prestigieuse revue Nature, ce médicament possède également des propriétés anticancéreuses qui pourraient être utilisées pour le traitement du cancer. Télécharger la chronique
L’alcool est la drogue la plus consommée par la population, avec plus de 8 Québécois sur 10 qui consomment régulièrement des boissons alcoolisées. Il semble que cet attrait envers l’alcool provient d’une mutation génétique qui est survenue il y a plusieurs millions d’années, avant même l’apparition des premiers Homo sapiens. Télécharger la chronique
Boire modérément de l’alcool est associé à une baisse du risque de maladies du coeur, mais provoque en parallèle une légère hausse du risque de cancer du sein. pour les femmes qui boivent, il est donc important de bien soupeser les avantages et les inconvénients associés à la consommation d’alcool. Télécharger la chronique.
La période des Fêtes est, pour plusieurs, l’occasion de prendre un verre (ou deux) avec famille et amis. L’origine biochimique de notre relation avec l’alcool est complexe. Cette attirance envers cette substance toxique est due à notre capacité unique à la digérer efficacement, une propriété héritée de nos ancêtres primates. Télécharger la chronique.
Malgré son contenu élevé en calories, l’alcool (éthanol) n’est pas considéré par notre corps comme une source d’énergie intéressante et est métabolisé d’une façon différente des aliments. Ce métabolisme distinct expliquerait les résultats de recherches très récentes indiquant que la consommation modérée d’alcool n’est pas associée à un excès de poids, mais plutôt à une réduction du poids corporel. Télécharger la chronique.
La consommation d’alcool a été associée à maintes reprises à une hausse du risque de plusieurs types de cancers. Une étude récente réalisée à Montréal suggère que cette augmentation de cancer serait principalement due à la consommation excessive de bière et de spiritueux. Télécharger la chronique.