Obésité maternelle : hausse du risque de cancer chez les enfants
Les enfants nés de mères sévèrement obèses sont plus à risque d’être touchés par un cancer pendant les premières années de leur vie. Télécharger la chronique
Les enfants nés de mères sévèrement obèses sont plus à risque d’être touchés par un cancer pendant les premières années de leur vie. Télécharger la chronique
Au cours de la grossesse, le foetus relâche des cellules qui traversent le placenta, survivent et s’intègrent dans la moelle osseuse de la mère. Des résultats récents suggèrent que ces cellules foetales pourraient aider à la cicatrisation des blessures de la mère, même après la naissance. Télécharger la chronique
Plusieurs études indiquent que l’obésité maternelle, en plus d’accroître le risque de complications pendant la grossesse, pourrait également avoir une influence négative sur la santé des enfants, autant du point de vue physique que mental. Télécharger la chronique
Deux études publiées coup sur coup permettent de croire que l’administration prolongée d’acétaminophène pendant la grossesse pourrait être associée à des défauts majeurs du développement des systèmes reproducteurs, autant chez les garçons que chez les filles. Télécharger la chronique
Le cancer de l’ovaire est une maladie sournoise, qui ne laisse souvent que peu de chance aux personnes atteintes. Une publication récente dans la très prestigieuse revue Nature rapporte l’identification d’un groupe de cellules souches à l’origine de la plupart des cancers de l’ovaire, ce qui pourrait permettre le développement d’outils diagnostiques permettant de détecter ces cancers à un stade précoce et ainsi améliorer la survie des patientes. Télécharger la chronique.
Au cours de la grossesse, le foetus relâche des cellules qui traversent le placenta et peuvent être détectées dans le sang et les os de la mère plusieurs décennies après la naissance. Une étude récente présente d’étonnants résultats indiquant que des cellules foetales peuvent aussi être détectées dans le cerveau des mères et seraient associées à une diminution du risque de la maladie d’Alzheimer. Télécharger la chronique.
En raison de leur capacité à mimer l’action des hormones sexuelles, les perturbateurs endocriniens sont depuis longtemps soupçonnés d’exercer un impact négatif sur la fertilité humaine. Une étude récente vient de confirmer qu’une action de cette molécule, le bisphénol A, diminue la production de testostérone et interfère ainsi avec le développement foetal des testicules humains. Télécharger la chronique.
La fertilité humaine décroît constamment depuis le début de l’ère industrielle. Cette baisse de fécondité demeure mystérieuse, mais on soupçonne qu’elle pourrait être due, au moins en partie, à l’exposition à certains produits chimiques comme les perturbateurs endocriniens. Des études récentes suggèrent que la nature de l’alimentation moderne, en particulier la malbouffe, pourrait également contribuer à cette hausse de l’infertilité. Télécharger la chronique.
Deux études récentes suggèrent qu’une mauvaise alimentation paternelle pourrait modifier l’expression des gènes au cours du développement du foetus et ainsi prédisposer le futur enfant à certaines maladies. Autrement dit, non seulement les mauvaises habitudes de vie sont néfastes pour la santé, mais leur impact négatif peut être transmis à la génération future ! Télécharger la chronique.
Les tumeurs cérébrales représentent la deuxième cause de cancer chez les enfants et sont responsables de plus de 25 % de la mortalité causée par les cancers pédiatriques. Des résultats récents obtenus par notre laboratoire suggèrent qu’une alimentation riche en végétaux pourrait réduire les risques de ces tumeurs et des récidives suite au traitement. Télécharger la chronique.